Al
igual que otros países, Burkina Faso conoce una inseguridad al estilo de los
países en vías de desarrollo. Por las múltiples formas que puede adoptar, la
inseguridad se ha convertido en una preocupación importante para las personas.
Por lo tanto, la seguridad de bienes y personas forma parte de las agendas de
los proyectos sociales de las políticas establecidas. Sin embargo cabe
preguntarse las siguientes cuestiones: ¿Cuáles son las causas y las
consecuencias de esta inseguridad? ¿Qué se ha realizado para luchar contra este
fenómeno? ¿Cuáles podrían ser las perspectivas futuras?
La
inseguridad en Burkina Faso, si existe, es motivo de preocupación. Sus causas
podrían ser a primera vista la tasa de paro y las malas aptitudes de algunas
personas. En efecto, la población burkinabe es joven (el 80%), lo que conlleva una
tasa de paro casi igual a la tasa de jóvenes debido a la desocupación de esta
juventud tan mal explotada para el desarrollo de su país. De este modo, bajo la
lógica de las políticas establecidas, es el “sálvese quien pueda” y muchos se
dejan llevar por la vía fácil convirtiéndose en salteadores de caminos. Además,
la inseguridad se convierte para muchos que la practican en un modo de recuperar
de la sociedad lo que les pertenece por derecho. Esta es la teoría de la
adopción secundaria desarrollada por Garfinkel.
Por
otra parte están los despidos masivos de los agentes de seguridad y de defensa
de los últimos años. Esto se ha producido por una crisis interna en estos dos
grupos de profesionales (seguridad y defensa). Lo cual ha conducido a la
proliferación de armas pequeñas y de bandas cada vez más organizadas frente a
los agentes de seguridad.
Además
de esto, el crecimiento de las ciudades permite a los delincuentes de toda
clase encontrar refugio y escapar al control de los agentes de seguridad. Esta
inseguridad podría tener serias consecuencias sobre el bienestar de las
personas.
Las
consecuencias de la inseguridad son lamentables. Estas consecuencias son, entre
otras, la privatización de las libertades de los individuos de ir y venir a su
antojo, el miedo que sienten algunas personas en ciertas localidades. En el
plano económico, la inseguridad desmotiva a algunos inversores a invertir en
ciertos niveles. Esto tiene un gran peso en la economía del país. Si la
economía está en juego, el sector turístico no se queda fuera. De hecho,
algunos turistas tienen miedo de venir. Otros tienen dudas sobre la libre
circulación de bienes.
Sin embargo existen varias
soluciones para remediar este problema. Para prohibir este fenómeno el gobierno
burkinabe ha adoptado algunas iniciativas como la sensibilización. Una
sensibilización a través de foros, o a través de paneles publicitarios que
dicen No a la falta de civismo! No a la proliferación de armas! No a los actos
vandálicos! También están las fuertes advertencias a través de sanciones de los
cuerpos del orden que sean pillados en flagrante delito.
Como
observación general podemos decir que la inseguridad reina en todo el mundo. No
hay país sin inseguridad, dado que el concepto es muy amplio. Con el objetivo
de prohibir este fenómeno el gobierno de Burkina ha tomado las
medidas apropiadas y ha puesto en marcha un dispositivo de seguridad.
Dentro
de este dispositivo tenemos en primer lugar los textos que condenan los actos
de violencia y de vandalismo, como la ley aprobada el 5 de mayo de 2009. Esta
ley trata sobre la represión de la delincuencia organizada.
Roukieta Rouamba
L’instar
des autres pays, le Burkina Faso connait une insécurité type des pays en voie
de développement. De ce fait, l’insécurité de par les formes qu’elle pourrait
prendre, devint une préoccupation majeure des populations. Dès lors, la
sécurisation des biens et des personnes s’inscrit à l’ordre du jour des projets
de société des politiques en place. Cependant on pourrait se poser les
questions de savoir: Quelles sont les causes et les conséquences de cette
insécurité? Qu’est ce qui est fait pour lutter contre ce phénomène? Quelles pourraient
être les perspectives?
L’insécurité
au Burkina Faso, si elle en existe, elle est préoccupante, ses causes
pourraient être de prime abord, le taux de chômage et le goût facile qui anime
certaines personnes. En effet, la population burkinabé est jeune à 80 pourcent
et cela entraine un taux de chômage presque égal au taux de la jeunesse dû au
fait qu’elle est désœuvrée et mal exploitée pour le développement du pays. Ainsi,
sous la logique des politiques en place, c’est le « sauve qui peut »
et certains se laissent entrainer dans le goût facile en devenant des bandits
de grand chemin. De plus, l’insécurité apparait pour ceux qui la pratiquent
comme un moyen de reprendre à la société ce qui leur revient de droit. C’est la
théorie de l’adoption secondaire telle que développée par Garfinkel.
En
outre, c’est aussi les licenciements massifs des agents de sécurité et de
défense ces dernières années. Cela est dû à une crise qu’ont connue ces deux
corps professionnels (sécurité et défense). Ce qui a donc entrainé la
prolifération des armes légères et des bandits de plus en plus organisés face
aux agents de sécurité.
En sus
de cela, il ya aussi l’élargissement des villes permettant aux délinquants de
toute nature de trouver refuge et d’échapper au contrôle des agents de
sécurité. Dès lors, une telle insécurité pourrait entrainer des conséquences
sur le bien-être des populations.
Ce
qu’il faudrait savoir, est que les conséquences de l’insécurité sont fâcheuses.
Ces conséquences sont alors entre autres, la remise en cause des libertés des
individus d’aller et de revenir à volonté ; la peur qui anime certaines
populations dans certaines localité. Sur le plan économique, l’insécurité
décourage certains investisseurs à investir à certains niveaux. Ce qui pèse
lourdement sur l’économie du pays. Si l’économie est en jeux, le secteur
touristique n’est pas en reste. En effet, certains touristes ont peur d’y
venir. D’autres pensent qu’il y a une remise en cause de la libre circulation
des biens.
Cependant,
des solutions n’en manquent pas pour remédier à ce problème. Pour proscrire le
phénomène, le gouvernement burkinabè a pris plusieurs initiatives telles que la
sensibilisation. Une sensibilisation à travers de foras, des publicités pour
dire non à l’incivisme ! Non à la prolifération des armes ! Non aux actes
de banditisme ! Il y a aussi la fermeté et des mises en garde par des
sanctions des éléments des forces de l’ordre qui seront pris en flagrant délit.
Le
constat général que nous faisons est que l'insécurité règne partout dans le
monde. Il n'ya jamais de pays sans insécurité tant la notion est vaste. De ce
fait, dans l'optique de proscrire le phénomène, le gouvernement burkinabè a
pris des mesures idoines. Il ya un dispositif sécuritaire.
En ce
qui concerne ce dispositif, nous avons en premier lieu des textes qui
condamnent les actes de violence et de grand banditisme. La loi du 5 mai 2009
en est un exemple probant. Cette loi porte sur la répression du grand banditisme.
Sur le
plan réglementaire, le gouvernement burkinabè a encore mis en place la Brigade
Anti Criminelle (BAC), la Police de proximité et aussi un numéro vert (le 1010)
connut par bon nombre de personne.
Outre
cela, sur le plan matériel, le Pays des hommes intègres a acquis des matériels
d'appui aérien qui permettent de lutter contre le grand banditisme. On note
deux hélicoptères et des véhicules adaptés à cet effet. Dès lors on assiste à
une sécurisation des biens et personnes. Même si cela va à pas de caméléons, le
gouvernement burkinabè est toujours au four et au moulin pour pouvoir bouter ces
phénomènes.
Roukieta Rouamba
exactly i agree with your opinion because our country need to be safe..i will share this commantery with english speakers through the wold..Wopanlanda is a geat siteweb and will be improve by each person who love burkina..
ResponderEliminarcongratulation for your opinion..