sábado, 16 de noviembre de 2013

Inseguridad - Insécurité

Al igual que otros países, Burkina Faso conoce una inseguridad al estilo de los países en vías de desarrollo. Por las múltiples formas que puede adoptar, la inseguridad se ha convertido en una preocupación importante para las personas. Por lo tanto, la seguridad de bienes y personas forma parte de las agendas de los proyectos sociales de las políticas establecidas. Sin embargo cabe preguntarse las siguientes cuestiones: ¿Cuáles son las causas y las consecuencias de esta inseguridad? ¿Qué se ha realizado para luchar contra este fenómeno? ¿Cuáles podrían ser las perspectivas futuras?

La inseguridad en Burkina Faso, si existe, es motivo de preocupación. Sus causas podrían ser a primera vista la tasa de paro y las malas aptitudes de algunas personas. En efecto, la población burkinabe es joven (el 80%), lo que conlleva una tasa de paro casi igual a la tasa de jóvenes debido a la desocupación de esta juventud tan mal explotada para el desarrollo de su país. De este modo, bajo la lógica de las políticas establecidas, es el “sálvese quien pueda” y muchos se dejan llevar por la vía fácil convirtiéndose en salteadores de caminos. Además, la inseguridad se convierte para muchos que la practican en un modo de recuperar de la sociedad lo que les pertenece por derecho. Esta es la teoría de la adopción secundaria desarrollada por Garfinkel.
Por otra parte están los despidos masivos de los agentes de seguridad y de defensa de los últimos años. Esto se ha producido por una crisis interna en estos dos grupos de profesionales (seguridad y defensa). Lo cual ha conducido a la proliferación de armas pequeñas y de bandas cada vez más organizadas frente a los agentes de seguridad.
Además de esto, el crecimiento de las ciudades permite a los delincuentes de toda clase encontrar refugio y escapar al control de los agentes de seguridad. Esta inseguridad podría tener serias consecuencias sobre el bienestar de las personas.

Las consecuencias de la inseguridad son lamentables. Estas consecuencias son, entre otras, la privatización de las libertades de los individuos de ir y venir a su antojo, el miedo que sienten algunas personas en ciertas localidades. En el plano económico, la inseguridad desmotiva a algunos inversores a invertir en ciertos niveles. Esto tiene un gran peso en la economía del país. Si la economía está en juego, el sector turístico no se queda fuera. De hecho, algunos turistas tienen miedo de venir. Otros tienen dudas sobre la libre circulación de bienes.

Sin embargo existen varias soluciones para remediar este problema. Para prohibir este fenómeno el gobierno burkinabe ha adoptado algunas iniciativas como la sensibilización. Una sensibilización a través de foros, o a través de paneles publicitarios que dicen No a la falta de civismo! No a la proliferación de armas! No a los actos vandálicos! También están las fuertes advertencias a través de sanciones de los cuerpos del orden que sean pillados en flagrante delito.
Como observación general podemos decir que la inseguridad reina en todo el mundo. No hay país sin inseguridad, dado que el concepto es muy amplio. Con el objetivo de prohibir este fenómeno el gobierno de Burkina ha tomado las medidas apropiadas y ha puesto en marcha un dispositivo de seguridad.

Dentro de este dispositivo tenemos en primer lugar los textos que condenan los actos de violencia y de vandalismo, como la ley aprobada el 5 de mayo de 2009. Esta ley trata sobre la represión de la delincuencia organizada.
Roukieta Rouamba




L’instar des autres pays, le Burkina Faso connait une insécurité type des pays en voie de développement. De ce fait, l’insécurité de par les formes qu’elle pourrait prendre, devint une préoccupation majeure des populations. Dès lors, la sécurisation des biens et des personnes s’inscrit à l’ordre du jour des projets de société des politiques en place. Cependant on pourrait se poser les questions de savoir: Quelles sont les causes et les conséquences de cette insécurité? Qu’est ce qui est fait pour lutter contre ce phénomène? Quelles pourraient être les perspectives?

L’insécurité au Burkina Faso, si elle en existe, elle est préoccupante, ses causes pourraient être de prime abord, le taux de chômage et le goût facile qui anime certaines personnes. En effet, la population burkinabé est jeune à 80 pourcent et cela entraine un taux de chômage presque égal au taux de la jeunesse dû au fait qu’elle est désœuvrée et mal exploitée pour le développement du pays.  Ainsi, sous la logique des politiques en place, c’est le « sauve qui peut » et certains se laissent entrainer dans le goût facile en devenant des bandits de grand chemin. De plus, l’insécurité apparait pour ceux qui la pratiquent comme un moyen de reprendre à la société ce qui leur revient de droit. C’est la théorie de l’adoption secondaire telle que développée par Garfinkel.
En outre, c’est aussi les licenciements massifs des agents de sécurité et de défense ces dernières années. Cela est dû à une crise qu’ont connue ces deux corps professionnels (sécurité et défense). Ce qui a donc entrainé la prolifération des armes légères et des bandits de plus en plus organisés face aux agents de sécurité.  
En sus de cela, il ya aussi l’élargissement des villes permettant aux délinquants de toute nature de trouver refuge et d’échapper au contrôle des agents de sécurité. Dès lors, une telle insécurité pourrait entrainer des conséquences sur le bien-être des populations.

Ce qu’il faudrait savoir, est que les conséquences de l’insécurité sont fâcheuses. Ces conséquences sont alors entre autres, la remise en cause des libertés des individus d’aller et de revenir à volonté ; la peur qui anime certaines populations dans certaines localité. Sur le plan économique, l’insécurité décourage certains investisseurs à investir à certains niveaux. Ce qui pèse lourdement sur l’économie du pays. Si l’économie est en jeux, le secteur touristique n’est pas en reste. En effet, certains touristes ont peur d’y venir. D’autres pensent qu’il y a une remise en cause de la libre circulation des biens.

Cependant, des solutions n’en manquent pas pour remédier à ce problème. Pour proscrire le phénomène, le gouvernement burkinabè a pris plusieurs initiatives telles que la sensibilisation. Une sensibilisation à travers de foras, des publicités pour dire non à l’incivisme ! Non à la prolifération des armes ! Non aux actes de banditisme ! Il y a aussi la fermeté et des mises en garde par des sanctions des éléments des forces de l’ordre qui seront pris en flagrant délit.

Le constat général que nous faisons est que l'insécurité règne partout dans le monde. Il n'ya jamais de pays sans insécurité tant la notion est vaste. De ce fait, dans l'optique de proscrire le phénomène, le gouvernement burkinabè a pris des mesures idoines. Il ya un dispositif sécuritaire.
En ce qui concerne ce dispositif, nous avons en premier lieu des textes qui condamnent les actes de violence et de grand banditisme. La loi du 5 mai 2009 en est un exemple probant. Cette loi porte sur la répression du grand banditisme.
Sur le plan réglementaire, le gouvernement burkinabè a encore mis en place la Brigade Anti Criminelle (BAC), la Police de proximité et aussi un numéro vert (le 1010) connut par bon nombre de personne.
Outre cela, sur le plan matériel, le Pays des hommes intègres a acquis des matériels d'appui aérien qui permettent de lutter contre le grand banditisme. On note deux hélicoptères et des véhicules adaptés à cet effet. Dès lors on assiste à une sécurisation des biens et personnes. Même si cela va à pas de caméléons, le gouvernement burkinabè est toujours au four et au moulin pour pouvoir bouter ces phénomènes.
                                                                                                                                       Roukieta Rouamba

1 comentario:

  1. Anónimo21/11/13

    exactly i agree with your opinion because our country need to be safe..i will share this commantery with english speakers through the wold..Wopanlanda is a geat siteweb and will be improve by each person who love burkina..
    congratulation for your opinion..

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